Non, vous n’avez pas le monopole du peuple !
L’histoire politique française a retenu la réplique cinglante de Valery Giscard d’Estaing a François Mitterrand lors de leur débat présidentiel de 1974 : » Vous n’avez pas le monopole du coeur ».
L’histoire politique française a retenu la réplique cinglante de Valery Giscard d’Estaing a François Mitterrand lors de leur débat présidentiel de 1974 : » Vous n’avez pas le monopole du coeur ».
En cette fin d’année, je voudrais dire ma colère. Tant de sujets la justifient : le milliard de gens qui s’endorment tous les soirs en ayant faim ; les deux milliards de personnes qui manquent d’eau ; les femmes violées, excisées,…
Devant l’avalanche de surprises, bonnes et mauvaises, qui a déferlé sur l’humanité pendant l’année qui s’achève, on peut être tenté de renoncer à prévoir quoi que ce soit pour l’année qui vient. 2017 serait, plus encore que 2016, hors de portée de toute prévision.
Un très grand penseur, trop oublié et dont on ne reparlera sans doute qu’à l’occasion de sa mort, Zygmunt Bauman…
Pendant que les Français avaient les yeux fixes sur le vote d’un dixième d’entre eux, soit l’équivalent d’une élection régionale partielle, pour désigner un des quinze candidats qui s’opposeront en avril prochain pour l’élection du prochain président de la République, le monde n’a pas cessé de tourner.
La vérité fonctionne comme un pouvoir, parce qu’elle impose ses diktats, plus implacables encore que ceux des dictateurs les plus puissants.
Les peuples le disent de plus en plus clairement chaque jour : ils veulent se débarrasser de leurs classes dirigeantes.
Dans une revue interne à Google, deux collaborateurs du projet de recherche sur l’intelligence artificielle, lancé en 2011 sous le nom de Google Brain, Martin Abadi et David Andersen, signent, le 24 octobre dernier, un article au titre mystérieux…
La présence de quelques femmes à des postes de pouvoir importants, et l’amélioration sensible, partout dans le monde, de l’accès des femmes à l’éducation et aux soins, ne doit pas cacher l’essentiel: partout, les femmes sont de moins en moins bien traitées par la société, c’est à dire par les hommes. Pour le plus grand malheur des uns et des autres.