Contre Ebola, l’altruisme rationnel
Le déluge d’informations que provoque depuis quelques semaines l’épidémie Ebola pourrait étonner …
Le déluge d’informations que provoque depuis quelques semaines l’épidémie Ebola pourrait étonner …
Il faut vraiment se voiler la face, comme le font trop de dirigeants politiques, pour ne pas voir que quelque chose de majeur va se passer en Europe, dans les mois qui viennent…
J’avais donné rendez-vous ici au 2 octobre, parce qu’à cette date, on devait connaître le budget 2015, et l’essentiel des réformes nécessaires pour redresser le pays devaient être engagées…
Face aux images que nous renvoient les mille et un miroirs de l’actualité, on a en général le choix entre l’admiration, l’enthousiasme, l’indifférence, la consternation, l’indignation, la colère et le rire. Ce dernier choix est trop rare pour qu’on en laisse passer une occasion.
Quand j’entends un ancien président de la République française oser affirmer, et faire expliquer par ses lieutenants, que seule une très grave crise économique mondiale l’a empêché de réaliser toutes les réformes qu’il projetait, je ne peux m’empêcher d’être très en colère…
Dans les relations entre les gens, comme entre les nations, l’humiliation peut conduire à des actes insensés, à des guerres inextinguibles…
A tous ceux que l’avenir de la France pourrait intéresser, je donne rendez-vous ici même, le 2 octobre : son sort, ce jour-là, sera scellé, pour longtemps…
Chacun le sait, le Parlement français contient trop de fonctionnaires et pas assez de salariés du secteur privé…
La bataille qui se joue depuis au moins deux siècles entre l’économie et la politique, entre le marché et la démocratie, entre le capitalisme et l’Etat, tourne désormais à l’avantage du marché, parce qu’il est global, au détriment de la démocratie, enfermée dans des frontières…