“Un financement aussi par les revenus de l’épargne”
Jacques Attali revient sur la réforme des retraites.
Care or respect?
If the left-wing wanted to give back to Nicolas Sarkozy all his chances for 2012, it could not make a better choice than reduce its ‘projet de société’, as proposed by Martine Aubry, by the concept of “care” that the first secretary of the Socialist Party explained as a “society of care” gathering «chains of care, family and friend solidarity , neighborhood attention, the commitment of the entire society».
Dette : les scénarios apocalyptiques de Jacques Attali
Jamais, sauf en période de guerre totale, la dette publique des pays les plus puissants du monde n’a été aussi élevée. Jamais les dangers qu’elle fait peser sur leur niveau de vie et leur système politique n’ont été aussi menaçants. » Une lecture historique et un diagnostic implacable de la situation dramatique à laquelle risquent de mener les excès d’endettement des dernières années…
7 parole per sopravvivere alla crisi
Il crac sfiorato dalla Grecia rischia di travolgere l’Europa intera. Jacques Attali, grande economista francese, ci spiega nel suo ultimo saggio e in questa intervista che reagire si può. Affidandosi a qualità straordinarie e sorprendenti: il rispetto di se stessi, la creatività, il pensiero rivoluzionario…
Conversando con… Jacques Attali
Finché c’è vita c’è speranza, per dirla alla Alberto Sordi. Ciononostante anche se non tutto è perduto siamo messi male e non ce ne rendiamo conto come dovremmo. A partire da noi europei, cittadini, governanti, élites, almeno a leggere Sopravvivere alla crisi dell’intellettuale francese Jacques Attali. Il quale, se deve indicare un film che rispecchi il suo pensiero sul nostro oggi fosco e turbolento, indica Blade Runner, capolavoro di Ridley Scott…
“Pour sauver la zone euro, la rigueur exige qu’on augmente la TVA”
Interview de Jacques Attali parue dans Paris Match
Le supplice de l’endettement
LE dernier livre de Jacques Attali, malgré son titre par trop sensationnaliste, « Tous ruinés dans dix ans? », a un vrai mérite. Il pose, en pleine crise de l’euro, la bonne question au bon moment: celle de la dette des Etats.