19 janvier 2010
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Ephémère éternité
Comme souvent, un évènement naturel peut servir de métaphore à un phénomène social. Et, pour décrire et comprendre les crises, rien de mieux que la métaphore du tremblement de terre.
Comme souvent, un évènement naturel peut servir de métaphore à un phénomène social. Et, pour décrire et comprendre les crises, rien de mieux que la métaphore du tremblement de terre.
Allons-nous enfin comprendre, en Europe, ce qu’implique le risque de sortir de l’Histoire? Chacun devrait désormais réaliser que la menace est là, bien tangible.
Etrange année que celle qui se termine. A priori, une année pleine de difficultés et d’échecs.
Le développement des éoliennes, dans une politique de croissance durable, est hautement problématique.
Après la visite de 9 jours d’Obama en Asie, le communiqué sino américain marque un tournant : les deux pays y traitent en superpuissances égales de tous les problèmes mondiaux, de l’écologie à la crise financière, de la défense aux droits de l’homme au nucléaire ; et même des problèmes bilatéraux de la Chine avec l’Inde.
L’Afrique vient de franchir le seuil du milliard d’habitants, ce n’est qu’un des signes qui fait de l’Afrique, principal lieu de misère, une source de croissance et la matrice de notre avenir.
Après deux guerres mondiales désastreuses, les Allemands sont heureux de s’inventer une victoire, même pacifique, même imaginaire.
Le rapport d’une commission présidée par un juge sud africain respecté, Richard Goldstone, arrive à la conclusion que « en lançant, dans certains cas, des attaques contre des civils sans objectifs militaires » (lors de l’opération militaire israélienne à Gaza de décembre-janvier) les Forces armées israéliennes ont commis « des actes assimilables à des crimes de guerre et peut-être par certains aspects à des crimes contre l’humanité ». Terrible accusation.
Les intérêts des uns et des autres semblent totalement contradictoires : les paysans des pays riches veulent continuer à etre subventionnés pendant que ceux des pays pauvres, abandonnés à eux-mêmes, n’arrivent pas à écouler leurs maigres productions et constituent les deux tiers du milliard de gens souffrant aujourd’hui de la faim.
